Oncille Guard

« Doux Chaton, Adorable Chaton. Petite Boule de Poils... »

Dans ma tête, il y a...

« Fait toi Mâle. »

Il serait faux de croire que les instincts animaux d'Oncille ont disparu avec sa domestication, bien au contraire. Ils sont ses racines, les seules choses de vraies en ce monde et aussi ce qu'il a de plus précieux. Bien sûr, ses instincts l'amène à des actes ou des paroles si crues qu'elles peuvent blesser. Néanmoins, le Fauve sait se tenir, il a apprit. Après tout, il incarne maintenant la plus noble des castes, la guilde des guildes, les Eirhans.

Il c'est donc fait éduqué dans l'optique d'être, de transpirer la perfection. On ne pas dire qu'il était bon élève et son espièglerie ni arrangeait rien. Oncille à comme nous tous, deux à trois visage. Les réactions qu'il a en public, dans son entourage ou dans le cadre intime n'ont rien à voir. Quoiqu'avec le temps, la vie avec son entourage ressemble à celle de sa vie publique, une vaste mascarade. Mais ne nous attardons pas à ces détails futiles. Revenons à l'essentiel, Oncille.

En public, Cil' est un homme très conciliant, raffiné et agréable. Il est un hôte remarquable et un invité irréprochable. Il fait toujours bonne figure et évite les paroles dénuées de sans. Bien qu'il soit un bon orateur, il n'aime pas parler devant une assemblée et évite de se faire remarquer. Doux et calme en permanence, le Minet sait honoré l'affiliation que l'on lui a donné. Il respecte assidûment les membres de sa guilde. Malgré cela, il n'ira pas guerroyer contre d'autres factions, ce n'est pas dans sa nature, du moins, ce n'est pas ce qu'il paraît être, dans sa vie publique.

Vint ensuite la facette privée du Chaton. Il se fait moins réservé, plus affirmé, n'hésitant pas à aller au coeur de la lumière. Il a un parlé plus franc et direct bien qu'il reste d'un registre correct, en toutes circonstances. Il est toujours plus ou moins poli et aimable mais extériorise plus ses démons et ses pulsions, évitant tout de même de les accomplir sous ce masque là. La question se complique tout de même avec ces histoires de guildes opposé, sa nature faisant de lui un belligérant de choix, il n'a pas de mal à devenir belliqueux. Bien qu'ici encore tout ce limite à des mots ou de simples bousculades.

Il y a afin le vrai, le fort, le fou, le bon Minou. A bas les masques, sachez qui vous êtes messieurs. Oncille est un animal, un être à sang chaud. Il ne se retient que très rarement et se laisse aller à ses pulsions. Il est rapidement violent bien qu'il sache distinguer le bien du mal, ce qu'il faut faire et ce qu'il ne faut pas faire. Sans ses chaînes que la société lui impose, le Fauve devient aussi impétueux qu'un Tigre, aussi impérieux qu'un Lion. Il a une notion du territoire très poussée et son courroux est à craindre. Mais... Attendez, que décrivons-nous là ? Le Sauvage. Mais Cil' est un hybride. N'oubliez pas l'homme voyons, l'être civilisé !

Oncille est profondément attachant, naïf et doux. C'est pour cela qu'il est si violent, il a trop peur de se faire tromper. Il est méfiant certes mais facile à berné. Il n'a cependant pas honte de se qu'il aime ou n'aime pas et ce dans absolument tout les domaines. Il est quelqu'un de franc, à l'excès sans doutes. Il manque bien de tact mais sa vous amadouer. Il est dans certains domaine comme un gosse mal habitué, presque capricieux.

Le passé... le présent...

« Sur les ruines d'un champ de bataille... »

Situation Initiale

D'aussi loin qu'il s'en souvienne, Oncille a toujours été comme un animal, il a bu, mangé, dormi et finalement vécu comme eux. Il était même l'un d'eux. Ni plus, ni moins important qu'un autre. Il était juste lui, petit sauvageon. Pourtant, il venait bien de quelque part, une union charnelle à donné naissance à ce Chaton. Une union contre nature ? À vous de voir, mais où est l'immoral lorsque les sentiments sont là ? De cette rencontre, naquit ce petit d'homme, par la suite livré à lui-même par la force des choses.

Cil' avait tout de même eut le temps d'apprendre des rudiments de paroles, aussi grognait-il de temps à autres des paroles humaines, ce qui ne manquait pas d'effrayer ses amis animaux. Malheureusement pour eux, ces êtres tant attaché à leur mascotte, la part humaine d'Oncille allait bientôt resurgir de son passé et avec une force incommensurable. En attendant, le jeune garçon grandissait dans les bois, chassant, cueillant et fouillant comme il l'avait vu auprès de ses compères. Si seulement tout avait pu rester comme en ce temps là... Peut-être serait-il un autre... Si...

Élément Perturbateur

Tout près, ils étaient tout près. Les brindilles craquaient sous les sabots de leurs chevaux. Ils avaient eut vent de rumeurs qui voulait qu'un jeune garçon errait seul et nu, se comportant comme un fauve, dans les bois. Il paraîtrait même qu'il s'approchait des maisons de la ville et commençait à fouiller les ateliers vident ou encore les poubelles. Quelle honte pour cette ville ! Ils devaient faire quelques choses... Alors, ils étaient parti à sa chasse, une chasse à l'enfant. Ils comptaient bien l'avoir et d'ailleurs, il ne partiraient pas sans. C'était décidé.

Oncille lui, courait, il courait comme jamais, même à la chasse. Il comprenait maintenant ce que c'était d'être le gibier. Quelques fois bien sûr il avait du fuir pour sa vie, reculant face à un carcajou, glouton ou bien un couguar. Mais jamais vraiment ses bêtes là ne le voulaient pas entre leurs crocs. Cette fois-ci c'était différent. Des hommes le chassaient et le rebattaient dans leurs filets. Il était prit au piège. Soudain, une flèche fusa. Elle alla se planter dans le sol tout près de son pieds. Quelques secondes plus tard, le filet suivit.

Péripétie

Lorsque le Fauve fut suffisamment affamé et fatigué, c'est-à-dire après trois jours de captivité. On décida de sortir Oncille de sa cage et de commencer à le laver. Les autorités avaient choisit de s'occuper de l'enfant et de faire de lui un exemple pour la population. Le message était clair, la ville n'abandonnait personne ! Qui que vous soyez-vous pouvez rejoindre notre havre de paix. Cependant, en pratique, on ne nourrissait Cil' qu'avec parcimonie, celui-ci devenant trop vigoureux lorsqu'il était bien nourrit. On ne savait pas bien quoi faire de lui...

Après avoir dégrossit l'animal, l'avoir lavé, rincer, savonné, frotté, astiqué, parfumé et poudré. On décida de le montrer rapidement au public. La décision fut prise de lui mettre la corde au coup, comme à un chien, pour plus de sécurité. On exabit donc le trophée de la ville, cet enfant arraché à sa vie. La parade, composée de huit soldat afin de contenir l'enfant, se dirigea vers le pont. A la vue du lointain, le gamin perdit raison et se débattit de toutes ses forces, sous les hués de la foule qu'il battait griffes et ongles.

On interdit les sorties au sujet et en s'occupa dès lors de son éducation. Dans les premiers temps, on fit cela au fouet. Mais rapidement, comprit que ce n'était pas la meilleure méthode pour faire d'un sauvage un être civilisé. On envoya donc une éducatrice se charger exclusivement d'Oncille, une Eirhan. Avec elle, il fit des progrès incroyable. Il rattrapait en deux ans à peine l'essentiel de six. Bientôt, on lui raccorda le droit de sortie et finalement, on le libéra au terme d'une parade. Le Chaton avait été maté, le garçon était né.

Élément de "Résolution"

À désormais huit ans, Oncille était libre, ou presque. Il restait à la cheville des Eirhans. Alix, puisque c'était le nom de son éducatrice, fut sa mère d'adoption, aussi bien sur le plan légal qu'affectif. Elle fut pour lui la mère parfaite dont il n'avait pas pu profité. Il y eut un temps d'adaptation nécessaire avec la confrontation du Fauve avec la famille d'Alix, composée de sa fille et de son mari. Mais ils finirent par s’apprivoiser. Après un long temps d’immersion, on oublia le passé d'Oncille, il pouvait être heureux.

Ce bonheur dura un bon et beau moment. Assez pour que notre petit d'homme deviennent un adolescent particulier mais... Équilibré. Après cinq années passées, Alix déclara une maladie lente et incurable, elle lui rongeait les jambes. Ce n'était pas si grave que cela, elle était vivante, bel et bien vivante, comme son mari et sa fille. Mais pour les soins et l'attention qu'il lui fallait, elle fut conduite à l'hôpital. À désormais treize ans, Alix confia la mission symbolique à son fils de protéger et d'aimer sa soeur et son père, Luce et Jay.

Situation Finale

Jusqu'à son âge actuel, la vie d'Oncille se limita à des allés et venus entre les terres extérieures de la guilde, l'hôpital et la maison. Comme promis, le Chaton pris garde à sa soeur et son père aussi, pour lequel il ressentait un profond respect maintenant qu'il l'avait vu s'affairer comme mille hommes à la tâche. C'est ainsi que lentement, il s'émancipa jusqu'à quitter le cocon familial. Il s'installa près du parc aux cents fontaines, au quartier résidentiel de la domineum, devenant garde du corps pour s'assurer une subsistance.

Derrière l'écran ?

« Parce qu'il y a toujours quelqu'un derrière l'écran »

T'as quel âge? Bientôt 17 ans !

T'appelle comment? Appelles-moi Maewis et on sera copain.

Tu viens d'où? Toulouse !

T'aimes le forum? Ouais, trop ! Je le trouve vachement beau et le contexte assez sympas (pour pas dire démentiel !).

Comment tu l'as connu? Vous avez un partenariat avec un forum récemment inscrit sur un des top site. Je suis allé sur le forum, celui-ci étant en construction j'ai rapidement vu votre partenariat avec lui et du coup, je suis venu ici !

En lisant le règlement, t'as pas vu un p'tit code?
 Un mot pour la fin ? Bouh !  

Félicications !

*Diane copie la super parenthèse de Titi*
☾ Tes lunes ont trop de swag *^* ☽

Citation :

C'est pour cela qu'il est si violent, il a trop peur de se faire tromper. Il est méfiant certes mais facile à berné.

J'aime tes rimes  
En ce qui concerne ton histoire c'est parfait je n'ai rien à dire, bon hormis les quelques fautes qui parfois piquent les yeux 8D On va faire abstraction par ce que le seul défaut c'est ça. Alors voilà! é.é
Passe faire un petit tour ici ;3